Le prix à payer.

Je me demande s’il ne serait pas grandement temps que je me mette à croire en Dieu ou un autre de ses concurrents.

 

Car je viens de recevoir quelques avertissements qui devraient, normalement, me remettre sur le droit chemin, qui avait tendance jusqu’ici à dévier ostensiblement vers tout débit de boissons. J’ai même cru un moment détenir des talents de sourcier.

Toujours est-il que mon séjour corse est allé de mal en pis. Seul le premier jour fut ensoleillé. Se sont succédés pluie, vent, tempête et neige. La veille du retour devait se passer à réviser mes aperçus gustatifs en matière de vermentino et nielluciù chez Marie et Antoine ARENA. Que nenni!

Retour vendredi, même pas 13, départ maison 5h45 pour Bastia 7h15.

8h00 : Annonce d’un léger retard de 3h pour le départ. Bien!

14h00 : Annonce d’une avarie qui nous oblige à débarquer à Savone à 16h00. D’accord!

16h30 : Je trouve le début des 150 kms d’autoroute qui devraient nous ramener à la maison. Ca vient!

18h00 : Nice, le Père Noël nous prend en photo à 105 km/h au lieu de 90. Je regarde tendrement ma fiancée dont le permis de conduire est plein de ses 12 points.

18h15 : Maison. Par chance nous avions opté pour le tout électrique et renoncé au gaz. Dommage ça m’aurait tenté.

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