Archive pour octobre 2012
mardi 30 octobre2012
Publié dans Michel Tolmer | Aucun commentaire »
mercredi 24 octobre2012
Double exploits scientifiques menés à bien par l’équipe Glougueule. D’une part, PQ notre télépathe maison, apporte la preuve qu’avec beaucoup de travail, l’esprit peut maitriser aisément la matière. D’autre part pour la première fois au monde voici la présentation du premier ticheurte à rayons X. Grâce à Glougueule vous suivez en direct le trajet de tout ce que vous mangez et buvez. Plus de détournement possible. 100% de ce que vous avalez parvient dans l’estomac. Aucune déperdition, plus de fausse route.
Stop Gloumotion / Pouvoirs Magiques par Glougueule
Publié dans Philippe Quesnot | 2 commentaires »
jeudi 18 octobre2012
Rendons à seize ares ce qui est à seize ares : la semaine dernière, nous avons abusivement usurpé l’identité du vrai créateur des salons de soiffure Jean, oui J’la vide. Nous présentons toutes nos excuses au spécialiste mondialement reconnu de la mise en Py.
Tags :Jean Foillard
Publié dans Michel Tolmer | Aucun commentaire »
mardi 16 octobre2012
Il ne sert à rien d’être une entreprise d’envergure internationale, d’avoir aux quatre coins du monde des correspondants, d’être coté au CAC40, si dans nos régions nous n’avons pas d’antennes pour relayer l’information. Pionnier en la matière, Philippe a participé pour nous à l’émission sur M6 « l’Amour est dans le pré ». Son nom, Bornard, le prédestinait : lâché dans le poulailler, notre héraut a porté bien haut les couleurs de GLOUGUEULE et s’il n’a pas trouvé l’amour dans le pré, il nous a confirmé, si besoin en était, que le plaisir, lui, est dans le verre.
Tags :Bornard, m6, Philippe
Publié dans Michel Tolmer, Philippe Quesnot | 2 commentaires »
mardi 9 octobre2012
« Didont PQ, tu bosses demain? » …. »Eeeeuh! Non… Pourquoi? » … » Ça te dirait une petite balade en bateau du côté de Porquerolles? ». Cette sollicitude me touchait, cela me faisait plaisir que Mimi ait tout de suite pensé à moi pour aller boire en mer, mais il y avait dans l’intonation un surplus de velours qui me titillait. » Bon! Écoute… Il faudrait que tu viennes avec une carafe et…. six verres. On dit demain 11 h à la capitainerie du port du Lavandou. » Je le soupçonnais à raison; Mimi m’avait déjà fait le coup de la stoppeuse. Je trouvai Mimi derrière la capitainerie et derrière la capitainerie je trouvai un célèbre peintre de la capitale, un architecte haut de gamme et deux vignerons bordelais et bourgueillois.
Le Club des Zincs avait loué ce bateau, parfait pour la voile, mais complétement inadapté à la dégustation en mer. La veille, la table de camping, exténuée, s’était effondrée, entrainant verres, carafe et vieille cuvée de Selosse. D’où l’appel???
En quelques mots, un de ces loups de mer m’expliqua que l’absence de vent ne nous permettrait pas d’entreprendre cette grande course au large envisagée mais que nous jetterions l’ancre dans une crique toute proche en attendant une météo plus favorable à la pratique sportive de la voile. C’est donc au moteur, sous le plomb de ce terrible cagnard varois que nous sommes allés nous tanquer face au Fort de Brégançon.
Les bruits provenant de la cale me chuchotaient qu’une autre activité sportive avait été prévue. Sans qu’aucun ordre ait été donné, dans un bel ensemble, chacun trouva naturellement sa place et sa tâche. Table, planche à découper, saucissons, poutargue, couteaux, tire-bouchon, cigares, coupe-cigares, chalumeau. Je compris que l’heure était venue pour moi d’entrer modestement en scène, en sortant carafe et verres. Ebloui, j’avais face à moi une des formations les plus renommées qui existent. Que ce soit en formation ou en solo, chacun avait laissé son empreinte. Dans tout Paris, bon nombre de lieux de la nuit gardent encore les traces de ce quintet mythique.
Ce furent deux jours de rêve pour un modeste amateur comme moi. J’en profitai pour bien étudier leur technique, décomposer leurs gestes. A ce niveau de perfection, le don et l’inné ne suffisent plus, seul le travail permet d’atteindre ces sommets. Le temps et les circonstances ne les autorisent plus à se produire aussi souvent dans la capitale, mais si vous avez l’occasion d’assister à une de leurs sessions, foncez, c’est un spectacle rare, émouvant et d’une immense beauté formelle.
Tags :anselme selosse, bernard pontonnier, grégoire hubau, le lavandou, michel jean, michel tolmer, pierre breton
Publié dans Philippe Quesnot | Aucun commentaire »
mercredi 3 octobre2012
Si pour toi, la soiffure est permanente, GLOUGUEULE te recommande Jean-Louis J’la vide, un garçon-soiffeur qui frise la perfection.
Publié dans Michel Tolmer | 5 commentaires »