Contrepèterie et autre FREUDaine.

J’ai toujours trouvé plus que limite ces types d’un âge certain  basculant irrémédiablement du côté zobscure de la farce dès qu’une jeune dame entre dans leur champ visuel. « Holà les gars on se calme! leur disais-je, maintenant c’est surtout la mémoire qu’il faut activer, vous n’êtes plus sur le même fuseau horaire ». Et puis voilà que coup sur coup je reçois deux messages subliminaux m’indiquant que moi aussi je commence à passer d’anodines images au travers d’un filtre un peu similaire. Tout de travers, je vois là où d’autres ne captent que de gentilles images, d’innocentes icônes, des allusions plus ou moins salaces, limite perverses comme en a mon partenaire Glougueulien. Alors pour en être sûr je m’adresse à vous fidèles lecteurs, disez-moi si comme pour la médisance et ses jeudis dédiés qui me ravissent et dont je me délecte alors que c’est mal, j’ai perdu tout repère et si je dois dorénavant me méfier au plus haut point de l’angle qu’emprunte mon cerceau pour interpréter les images de mon quotidien ? Par exemple ce petit livre que mes Kopines Blondes m’ont offert.

L'art du contrepet

Le beau kdo de mes Kopines Blondes que j’embrasse bien fort.

Tout de suite, en plein visage l’horrible contrepèterie. Est-ce possible que personne chez l’éditeur ne se soit rendu compte, n’ait à un moment eu le tympan titillé par ces syllabes qui, légèrement bousculées, laissent à penser que la dame a eu recours à un succès damné, lui aussi défaillant? Cherchez un peu! Non, pas dans le titre. Jetez un regard à celui de la collection. AlOors??? J’invente peut-être???

message nocturne et subliminal

Freud, au secours! Ce ne sont pas des nains que je vois partout.

Et cette photo nuitamment transmise par un président d’association garde mémoire d’un de nos plus grands vignerons jurassiens. Je connais tout mon Freud par cÅ“ur et ça c’est de la symbolique qui cause. Non? Qui baigne dans le grivois. Non? Quand même, j’invente rien, suffit de regarder. Et puis ce petit nom « Phil », que lui donne sa douce et tendre « Cat », « Phil » raccourci de Philippe, celui qui aime les chevaux, alors qu’en posant un regard un peu plus acéré, en poussant l’analyse, on trouve quoi ? Comme un phare en tout début de ce surnom, on trouve le P de Phil. Eh oui! Comme quoi ce n’est pas moi le déviant mais tous ces naïfs qui passent à côté sans rien voir, ni entendre. C.Q.F.D.

4 réponses à “Contrepèterie et autre FREUDaine.”

  1. Delphine écrit :

    Nous aussi on t’embrasse fort ! Même si la seule contrepètrie que l’on comprenne, nous, c’est quand on nous laisse le choix dans la date. Signé les Kopines Blondes.

  2. François écrit :

    En matière de « Goût », moi je croyais peut-être à tort, que la gente féminine préférait le goût du blanc…(ce qui est très différent j’en conviens du goût des mots).

  3. fred écrit :

    Aussi, à force de fréquenter les blondes ça ne pouvait qu’arriver ! Bien fait !

  4. philippe écrit :

    C’est toujours bien fait pour moi et seuls le savent ceux qui ont la chance de les connaitre. S’il est agréable d’avoir un bon Kopin il est encore plus délectable d’avoir de bonnes Kopines et ce n’est pas une panacée que d’en trouver. Donc celles là je me les garde bien précieusement et les embrasse tendrement.

Laisser un commentaire