« Saleya » à Shangaï, une moderne version du mécénat.

Quand on consulte le site de Thomas Thévenoud, le député qui a peur de l’administration, rien depuis juin 2014. Cet élu a perdu la mémoire. Faut-il y voir un signe des temps, et à travers, l’apparition de nouveaux syndromes que les instances médicales n’auraient pas détectés sur les radars? Cet homme a la phobie de la paperasse et des déclarations en tout genre. Et bien il n’est pas seul au monde.

Zoé à Shangaï

Une exposition délicieusement anonyme organisée par le « Saleya »

Dans un registre assez proche, notre belle et talentueuse Zoé, outre de l’admiration que nous avons de son art, est l’objet d’un culte secret d’adorateurs de tous horizons à travers le monde. Un de nos envoyés spécieux a découvert un extrémiste à Shangaï, le restaurant « Saleya », qui a poussé l’idolâtrie jusqu’à omettre non seulement de la prévenir de l’utilisation qu’il souhaitait faire de ses dessins, mais pour conserver plus de promiscuité avec les Å“uvres, ne pas mentionner le nom de l’auteur et tout ceci afin qu’elle ne soit pas importunée par des flagorneurs qui auraient désiré la contacter pour acheter une de ses illustrations.

De notre envoyé à Shangaï

Le Saleya, à Shangaï, un restaurant-galerie d’art qui s’ignore.

Que de sollicitude, vraiment! Grâce à lui, Zoé peut tranquillement continuer de bosser sans être dérangée par un afflux d’argent soudain qui risquerait de la perturber pour la réalisation de son grand-Å“uvre. On dit quoi? On dit merci Saleya!

4 réponses à “« Saleya » à Shangaï, une moderne version du mécénat.”

  1. Claude écrit :

    Ignoble

  2. philippe écrit :

    Electionnons-le « L’Ignoble des Vignobles »

  3. lavioque écrit :

    ahhhhh!!!! les pourceaux laqués!!

  4. Daune écrit :

    Cela fait de la pub pour glougueule et faites des affiches en pvc pour l extérieur .
    Fan de glougueule

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