Archive pour la catĂ©gorie ‘Philippe Quesnot’

Glougueule va vous sauver la mise, une fois de plus.

mercredi 26 juin2019

Soif, l’affichette qui rafraichit en ces temps de canicule

Sachant que vous alliez sĂ©vèrement dĂ©rouiller durant cette canicule annoncĂ©e, nous nous sommes sĂ©rieusement penchĂ©s sur le problème et posĂ©s LA question : Comment venir en aide Ă  nos abonnĂ©s en cette pĂ©riode de dĂ©croissance oĂą rĂ©duire volume et poids des emballages est devenu une nĂ©cessitĂ© absolue, ne pas gaspiller de matière première et Ă©viter d’impacter la planète avec une empreinte carbone dĂ©mesurĂ©e ? Comment vous hydrater correctement et surtout et enfin Ă©tancher cette satanĂ©e soif qui vous tenaille les amygdales ? Vui, comment ?
Après réflexion et maintes séances de travaux pratiques, une fois bien mûrs, nous en sommes venus à ce projet d’affiche, solution radicale à votre problème.
Dans la posture du lotus, respiration profonde, face affiche, dans un état de méditation intense, vous devriez normalement après un certain temps, si notre raisonnement est bon, éprouver un bien-être énorme et, à la seule vue de ce verre en apesanteur, sentir votre soif s’étancher. Enfin c’est ce que donnent précisément nos calculs, à un chouïa près, une erreur à la marge restant toujours possible, quoique peu probable, mais bon……………..

Le porte-bouteille, revisité par Mylène Pratt Maroquinerie pour Glougueule

mercredi 5 juin2019

L’Ă©tĂ© et ses pique-niques pointent leurs nez. CrĂ©Ă© par Mylène Pratt Maroquinerie pour Glougueule, voici le compagnon idĂ©al, le porte-bouteilles en collet de vachette pleine fleur, au tannage vĂ©gĂ©tal, de couleurs whisky ou rouge, hauteur 33 cm, diamètre 10.5 cm. La classe, le chic, le glou ! Ces porte-bouteilles sont d’ores et dĂ©jĂ  Ă  la vente sur notre site et Ă  la boutique de Mylène au 14 rue Deguerry – Paris XIe (tĂ©l : 06 16 85 56 41).

Toto va Benais

mercredi 29 mai2019

Il y a de par notre beau pays de France d’immondes malfaisants, des chafouins méprisables, salisseurs de réputation, infâmes colporteurs de rumeurs éhontées dont l’unique but est de ternir la noble et belle figure de notre Toto National.
Même si son parcours fut chaotique et sa trajectoire sinueuse, il serait inélégant de rapporter ici ces petits tracas de la vie qui expliquent en partie certaines anomalies. Reconnaissons-lui simplement un gros gros talent et une chance insensée, car comme nous le martèle la devise « Il ne faut jamais présumer de rien », la sagesse nous le rappelle au quotidien. En l’occurrence notre camarade part de loin, Toto c’était la grosse cote début des années 60.
Remercions du fond du cœur Monsieur Tolmer père et Madame Tolmer mère d’avoir, le 11 mai 1960, pris la bonne décision. Evidente désormais, mais ô combien délicate en ces temps incertains, reculés et sombres où naquit notre ami. L’avenir ne se présentait pas sous les meilleurs auspices pour ce cher petit être. Le compte-rendu établi par la sage-femme est édifiant : « Deux de tension, à la limite du détectable, structure osseuse défaillante, conformation musculaire déficiente, la complexion de ce sujet laisse peu de place à l’optimisme, il devra de par ces caractères se limiter physiquement et se prédestiner dès le plus jeune âge à une activité professionnelle adaptée. »
Ces indicateurs, tous dans le rouge : un signe du destin. Sa vocation dès les premiers instants l’interpellait.
Ce fut tout le talent du couple Breton que de déceler chez notre ami, derrière une apparente nonchalance et cette vivacité de lémurien primesautier tant appréciée dans les soirées privées du 92, le graphiste virtuose qui sommeillait en lui n’attendant que sa rencontre avec le cabernet-franc pour laisser exploser tout son potentiel créatif.

30 ans d’histoire commune avec Catherine et Pierre Breton, mais aussi Bénédicte et Grégoire Hubau, Sylvie Augereau et Nicolas Reau, Thierry Germain, Laurent Lebled, un mur de 6m de haut pour résumer ces collaborations sur trois décennies et trois jours pour venir les apprécier dans les chais du domaine au 10 rue du Changeon à Benais, voilà qui devrait claquemurer définitivement le clapoir nauséabond de nos médisants.

La Glande Librairie

lundi 6 mai2019

Si je n’ai encore accouché d’aucun papier sur le très indispensable livre de notre camarade de jeu, Sylvie Augereau, « Le Vin, par ceux qui le font pour ceux qui le boivent » (Tana Editions au juste prix de 29€) c’est tout simplement parce que je l’ai lu, et ce, de la première à la dernière page, d’une lecture concentrée et studieuse. Elle connait l’étendue réelle de mon savoir, elle sait au milieu de quelle immensité en jachère il se situe, donc s’il est bien une personne que je ne peux leurrer, c’est Sylvie.

En conséquence il m’est apparu comme un exercice périlleux si ce n’est beaucoup trop casse-gueule d’en dire quelques mots qui ne soient pas trahis par mon système neuronal primitif, primitif et endommagé. Le bouquin de Sylvie, c’est le livre que tous les Mimi, Fifi et Glouglou attendaient, celui qui vous explique tout, tout simplement. Auquel on peut se référer dès qu’un doute vous hante*.

One step Beyond.

Après ouverture du paquet, Ă  la lecture du titre « Le Grand PrĂ©cis des Vins au Naturel »(Editions Homo Habilis), mon visage s’est empourprĂ©, j’ai senti l’immodestie m’envahir le bulbe. L’hommage me touchait mais n’était-ce pas prĂ©maturĂ© pour une biographie ? L’auteur ? StĂ©phane Lagorce. Certes nous nous croisons depuis des temps lointains dans des lieux parfois incertains, nous avons Ă©changĂ© des sourires complices et amabilitĂ©s courtoises, nos phalanges se sont tutoyĂ©es en public. Mais de lĂ  Ă  rĂ©diger mon hagiographie de mon vivant ??? J’Ă©tais flattĂ©, mais interloquĂ©.  La table des matières a suffi Ă  remettre mon Ă©go d’épicier en place, les premiers mots de la prĂ©face de Bernard Plageoles, quoique dĂ©sobligeants, pouvaient encore entretenir ma mĂ©galomanie « Il y a un truc dont je ne suis pas fier, et que pourtant j’aimerais raconter ici. » Bernard, mĂŞme s’il y eut des Ă©pisodes peu glorieux soigneusement gardĂ©s sous la cendre, rien de pĂ©nalement rĂ©prĂ©hensible ? Ou j’aurais oubliĂ© ? La phrase suivante me disculpait. Ouf ! Ne rien avouer, jamais, la règle. L’épiscopat reste mon conseiller le plus avisĂ© en telles situations.

Bon alors d’accord, mais ce livre ???
Si j’étais un peu Ă©nergique, je le lirais et possiblement sa lecture me permettrait de comprendre ces subtilitĂ©s techniques qu’égrènent les vignerons au cours des dĂ©gustations, je pourrais enfin cesser d’opiner benoitement du chef Ă  la fin de chacune de leurs phrases. Mais  ne serait-ce pas dĂ©roger Ă  tous mes principes ? Parler de ce que je connais ? Je vais le poser sur ma table de nuit et tenter un exercice inĂ©dit de tĂ©lĂ©pathie, le transport en une seule fois de cette masse d’infos lors de ma prochaine phase de sommeil paradoxal. Je ne doute pas de la rĂ©ussite de l’expĂ©rience, je vous tiens au courant.

*Vous remarquerez la tournure subtile employée pour éviter l’écueil du présent de l’indicatif du verbe habiter.

A la conquĂŞte du Monde, phase 1.

jeudi 2 mai2019

En plein printemps, Glougueule déploie ses ailes, prêt à prendre son envol pour rejoindre au firmament les quatre G.A.F.A. Sérieusement préparés par un des grands analystes de la Rue Taitbout, nous avons inscrit la conquête du Monde et de sa périphérie comme objectif numéro 1 pour 2019, reléguant de ce fait la maitrise de la station verticale en toutes circonstances au 2ème rang.

Avant d’inonder la planète, petit galop d’essai, nous tenterons de marquer de notre empreinte la 7ème Edition de « Sous Les PavĂ©s La Vigne Â» Nous ressortirons de la naphtaline Ă  cette occasion nos carrures d’athlètes survitaminĂ©s.  

Glougueule sera Ă  la Dive ce week-end, on devrait s’y croiser.

mercredi 30 janvier2019

Si vous voulez continuer Ă  boire…

vendredi 26 octobre2018

Notre planète va mal, les populations d’insectes ont chutĂ© de 80% en trente ans, les oiseaux de 30% en quinze ans et la communautĂ© des vignerons ne va guère mieux. Combien seront-ils encore demain ? Chez Glougueule, Ă  bien y rĂ©flĂ©chir, les insectes c’est pas trop notre truc et nous n’avons jamais reluquĂ© les oiseaux comme pitance potentielle, ou alors les vraiment gros. Par contre les vignerons nous sont indispensables, vitaux, sans eux notre Monde n’a plus d’intĂ©rĂŞt, nulle survie possible.

Alors si vous ĂŞtes comme nous, aidez-les en participant Ă  l’opĂ©ration Vendanges Solidaires et apportez un soutien financier, aussi minime soit-il, pas trop quand mĂŞme, en vous rendant  ici sur le site de KissKissBankBank  !

 

3 nouvelles affichettes Glougueule

lundi 15 octobre2018

Rien n’y fera, ni fourberies, ni vilenies, encore moins les menaces, quant aux flagorneries, nous nous gaussons (Hi! Hi!) nous n’en avons cure, notre marche en avant est inexorable, irrĂ©mĂ©diablement enclenchĂ©e, Glougueule Editions devient incontournable, demain rien qui n’ait trait au domaine du vin, aucune nouvelle affiche ne pourront se faire sans nous. (Gniarf! Gniarf!) Bon! En attendant de dominer le Monde, nous Ă©tendons notre emprise sur les affichettes 30×40 avec la sortie de 3 nouvelles productions Tolmeriennes. Petite sĂ©rie, qualitĂ© d’impression, subtilitĂ© du traitement des sujets, humour dĂ©licat, tout ce que vous aimiez dĂ©jĂ  chez nous, vous le retrouverez.

PĂ©tillon est mort.

lundi 1 octobre2018

Je ne suis pas certain que l’exceptionnelle qualitĂ© du millĂ©sime 2018 dans le Beaujolais et le Jura suffira Ă  me faire passer ce sale goĂ»t persistant. Le 12 avril Mimi dĂ©cidait de nous pourrir la journĂ©e en quittant la scène. Sortie de Vingt en vrac, virĂ©e projetĂ©e dans le Beaujolais, pile le moment idĂ©al pour nous plomber. Notre mannequin ne supportait pas que nous le laissions seul et allions parfaire notre formation sur le terrain sans lui. Et aujourd’hui, message d’un ami : PĂ©tillon est mort. Arf ! Nous avions eu la chance de le rencontrer Toto et moi lors d’un repas d’Ă©tude et de synthèse durant un après-midi au Jeu de Quilles en compagnie d’une poignĂ©e de Kopins dessinateurs. Un lien s’Ă©tait crĂ©Ă© qui perdurait depuis, Ă©change d’originaux contre du vin et chaque annĂ©e nous nous souhaitions les vĹ“ux, avec le privilège Ă  chaque fois de recevoir une carte, un dessin sur le thème du vin. L’homme Ă©tait charmant et sans manière : un PĂ©tillon Naturel.

Le jazz et le jaja

vendredi 31 août2018

« Ah ! L’est pas facile tous les jours mon Albert ! Vivre avec un gĂ©nie n’est pas chose zĂ©zĂ©e ! Â» Ce propos de Madame Einstein, je pourrais le faire mien. Il est vrai, cĂ´toyer au quotidien Michel Tolmer n’est pas facile mais que dire de la satisfaction rencontrĂ©e lorsqu’il rentre de son atelier expression graphique et musique avec au fond de son petit cartable six magnifiques dessins. Que faire sinon les Ă©diter en un superbe portfolio « Le Jazz et le Jaja Â» en vente sur Glougueule.fr au prix dĂ©risoire de 15€.