Pétillon est mort.
Je ne suis pas certain que l’exceptionnelle qualité du millésime 2018 dans le Beaujolais et le Jura suffira à me faire passer ce sale goût persistant. Le 12 avril Mimi décidait de nous pourrir la journée en quittant la scène. Sortie de Vingt en vrac, virée projetée dans le Beaujolais, pile le moment idéal pour nous plomber. Notre mannequin ne supportait pas que nous le laissions seul et allions parfaire notre formation sur le terrain sans lui. Et aujourd’hui, message d’un ami : Pétillon est mort. Arf ! Nous avions eu la chance de le rencontrer Toto et moi lors d’un repas d’étude et de synthèse durant un après-midi au Jeu de Quilles en compagnie d’une poignée de Kopins dessinateurs. Un lien s’était créé qui perdurait depuis, échange d’originaux contre du vin et chaque année nous nous souhaitions les vÅ“ux, avec le privilège à chaque fois de recevoir une carte, un dessin sur le thème du vin. L’homme était charmant et sans manière : un Pétillon Naturel.
Cette entrée a été publiée le lundi 1 octobre2018 à 10:22, et rangée dans Philippe Quesnot. Vous pouvez suivre les réponses à cette entrée via son flux RSS 2.0.
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