Si tout fout l’camp, toi au moins reviens.

Voilà que se repointe ce satané 12 avril et toujours pas de réincarnation. Les années passent, la place reste vacante, on attend, patients et tristes, alors on boit. Certes il n’était pas nécessaire que tu t’absentes pour ça, mais nous manquons d’entrain, plus la niaque, personne pour la cadence, une nonchalance désabusée.

Si tu t’obstines et campes sur ta position horizontale nous allons verser dans une forme d’alcoolisme mondain comme tu les aimais tant. Moi je m’en sors à peu près dans le Sud mais tu imagines notre Toto sollicité au quotidien dans la capitale.

Si seulement tu nous faisais un signe.

Pause Cryptum : Par hasard t’aurais pas croisé Fred ?

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