Les Mémés se cachent bien pour mourir

Un groupe d’études niçois a récemment pu prendre cet instantané d’un troupeau de Mémés migrant vers le bord sud de la table. La croyance persistante qui consistait à assimiler leur fin de vie à celle des éléphants s’en trouve, ici, infirmée. En réalité il semblerait qu’il faille les rapprocher des lemmings, petits mammifaires terrestres des pays scandinaves, qui, par milliers se précipitent dans les fjords, régulant ainsi l’espèce lorsque la nourriture vient à manquer. En l’occurence, les Mémés se sont déversées dans d’insondables gosiers. Il y en avait de tous âges. La plus vieille avait connu la première mise sans soufre en 1990. Requiem in pace!

Laisser un commentaire