Pour un suivi rigoureux de l’information dans le journalisme d’investigation.
Trop souvent, nous le constatons au quotidien, le spectateur reste sans nouvelles de tel ou tel personnage découvert au détour d’un reportage. La durée ne fait rien à l’affaire, il suffit parfois de quelques instants pour créer ce sentiment chaleureux et profond, qui nous liera désormais à cet être. Quand, il y a quelques mois, nous avons exploré l’appendice de Michel TOLMER, (que nous appellerons M.T., afin de préserver son anonymat), nous avons rapidement été contactés par un astronome de l’Observatoire de Nice qui, emporté aux confins du système solaire par ses observations, était interloqué par les étranges similitudes qu’il constatait entre l’objet de nos recherches et des siennes. Nous avons dû lui transmettre une photo de la protubérance tolmérienne sous un angle plus large afin de le dissuader d’être face à une supercherie, à un cliché piraté de Mars. Tout doute a disparu dés lors que nous lui avons prouvé que contrairement à Mars il y avait de la vie sur la M.T.’s proéminence. Un examen attentif de la nature du terrain nous a convaincu immédiatement de l’exceptionnel potentiel d’un tel terroir. La vie y régnait sans aucune contrainte. Avec un cépage adapté, nous pourrions légitimement fonder de grands espoirs quant à l’obtention d’un vin exceptionnel. Toujours à l’ombre d’un parasol ou d’une tonnelle, la fraicheur serait assurée. Aucune chimie ne l’ayant détérioré de sa présence nous avions devant nous l’exemple d’un système bio-dynamique équilibré vivant en parfaite autarcie.
Espérons que nos demandes conjointes auprès de l’INAO, pour sa reconnaissance en A.O.C. et de l’UNESCO, en vue de son classement au patrimoine mondial de l’humanité, auront une issue favorable.
12 février 2010 à 12:24
Une mission de la NASAL est déjà en route.
12 février 2010 à 12:41
Il parait que cette info est fausse.
13 février 2010 à 9:02
Fausse NASAL ?