Dans l’Ardèche, exige l’Oustric nécessaire

En avril 1961, le monde se réveille avec un cosmonaute russe tournant au dessus de sa tête et lui voue immédiatement une admiration sans borne pour tant de courage. Une fois de plus, on célébrait l’usurpateur. De tous temps, l’Histoire s’est laissée berner par les gougnafiers. Au XIXème siècle, Nadar et Edison avaient déjà spolié Tolnot et Quesmer de leur gloire en s’attribuant la paternité de leurs inventions.

En cette année de grandissime millésime, le processus se renouvelait au détriment cette fois d’Onésime Oustric. Tonnelier de formation, il avait mis son art au service de l’aéronautisme. En avait découlé une succession de prototypes qui l’amenèrent à la perfection ultime, la construction de « Mias Ouane », achevé en 1927. De cette fantastique épopée, nous n’avons retrouvé que ce vieux cliché jauni.

C’est à chaque fois les larmes au bord des yeux et le coup de blanc au bord des lèvres que Gérald évoque l’aventure spatiale de son grand-père, auquel il rend chaque année hommage, en organisant sur son domaine ardéchois une grande fête, la « Mazel Teuf ».

3 réponses à “Dans l’Ardèche, exige l’Oustric nécessaire”

  1. Marc Demougeot écrit :

    Alors là mon Bichon, BIG UP pour la « Mazel Teuf » ! s’il y a un rade dans le coin dénommé le »Bar Mitzva », n’hésite pas !

  2. ledgé écrit :

    Et pour faire suite à notre toscan New-yorkais, encore un truc pour s’envoyer en l’air…au moins celui là ne portera pas plainte (d’où l’expression « être de glace comme l’inox ») !

  3. cohen écrit :

    c quan??

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