Cette entrée a été publiée le jeudi 4 février2016 à 12:29, et rangée dans Michel Tolmer. Vous pouvez suivre les réponses à cette entrée via son flux RSS 2.0. Vous pouvez laisser un commentaire, ou faire un rétrolien depuis votre site.
Quelle triste époque ! On n’a même plus le droit de boire sans se souvenir de… ce machin !
Ce n’est pas rare d’ailleurs qu’on ne se souvienne plus de ce qu’on a bu la veille, notamment des derniers!
C’est, m’a-t-on dit, un phénomène que l’on rencontre principalement du côté de Bligny les Beaune, principalement dû à l’absorption massive et alternative de chardonnay et de pinot noir. A vérifier sur place, bien sûr.
Bonsoir, je viens de passer commande du Mimi, Fifi, Glouglou volume 2, ce serait sympa de me le dédicacer, je vous ai acheté le premier sur le salon des vin de Loire à Anger il y a 1 ou 2 ans (je ne sais plus, trop de dégustations depuis …), je vous ai acheté 3 exemplaires de 5à nuances de gros rouge pour mon mari et 2 amis vignerons … Je veux bien une dédicace pour ce numéro aussi, s’il vous plait … Un grand merci par avance. Sandrine Duveau, femme de Glou et de vigneron !!
pas de doute , encore un qui est allé faire le djihad du vin….triste époque où il n’est plus question de boire bêtement , sans tenter de capitaliser un pseudo savoir. je revendique un droit à l’ignorance picologique ! (que je pratique sans complexe d’ailleurs)
Les photo des bouteilles, c’est pratique, les photo des bouteilles.
Donc, Philippe, si j’en crois vos propos, mon stage au château de Bligny en 1991 serait à l’origine de tous mes déboires ? Me voilà rassuré ! Je suis toujours en contact avec mon maître de stage de l’époque. Je vais lui faire mes compliments !
Ces grands moments de solitude bachique arrivent souvent; on part sur une premiere impression, on se laisse influencer par la bouteille, les commentaires alentours, des circonstances, l’alcool des précédents godets.. Et on dit des âneries ! C’est pas grave hein? Ca remet les compteurs de sa haute estime de soi à zéro! Je connais des calés, des tres calés , avec des caudalitres au compteur! qui soumis à une bouteille piégée , n’ont pas identifie que la quille de beaujolpif nouveau 2012 ou 2013 qu’ils étaient supposés déguster était en fait un Bourgogne 2010 …..tres connu de l’assemblee et que tous avaient en cave. Alors hein? bon!
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4 février 2016 à 13:26
Quelle triste époque !
On n’a même plus le droit de boire sans se souvenir de… ce machin !
4 février 2016 à 16:27
Ce n’est pas rare d’ailleurs qu’on ne se souvienne plus de ce qu’on a bu la veille, notamment des derniers!
4 février 2016 à 20:26
C’est, m’a-t-on dit, un phénomène que l’on rencontre principalement du côté de Bligny les Beaune, principalement dû à l’absorption massive et alternative de chardonnay et de pinot noir. A vérifier sur place, bien sûr.
4 février 2016 à 22:41
Bonsoir, je viens de passer commande du Mimi, Fifi, Glouglou volume 2, ce serait sympa de me le dédicacer, je vous ai acheté le premier sur le salon des vin de Loire à Anger il y a 1 ou 2 ans (je ne sais plus, trop de dégustations depuis …), je vous ai acheté 3 exemplaires de 5à nuances de gros rouge pour mon mari et 2 amis vignerons … Je veux bien une dédicace pour ce numéro aussi, s’il vous plait … Un grand merci par avance.
Sandrine Duveau, femme de Glou et de vigneron !!
5 février 2016 à 9:43
pas de doute , encore un qui est allé faire le djihad du vin….triste époque où il n’est plus question de boire bêtement , sans tenter de capitaliser un pseudo savoir. je revendique un droit à l’ignorance picologique ! (que je pratique sans complexe d’ailleurs)
5 février 2016 à 10:28
Les photo des bouteilles, c’est pratique, les photo des bouteilles.
5 février 2016 à 19:33
Donc, Philippe, si j’en crois vos propos, mon stage au château de Bligny en 1991 serait à l’origine de tous mes déboires ? Me voilà rassuré ! Je suis toujours en contact avec mon maître de stage de l’époque. Je vais lui faire mes compliments !
13 février 2016 à 16:11
Ces grands moments de solitude bachique arrivent souvent; on part sur une premiere impression, on se laisse influencer par la bouteille, les commentaires alentours, des circonstances, l’alcool des précédents godets.. Et on dit des âneries ! C’est pas grave hein? Ca remet les compteurs de sa haute estime de soi à zéro! Je connais des calés, des tres calés , avec des caudalitres au compteur! qui soumis à une bouteille piégée , n’ont pas identifie que la quille de beaujolpif nouveau 2012 ou 2013 qu’ils étaient supposés déguster était en fait un Bourgogne 2010 …..tres connu de l’assemblee et que tous avaient en cave.
Alors hein? bon!