C’est par cet orifice que se sont écoulés 75 cl de côte du Py 2005
de Monsieur Foillard, hélas, pauvre pomme que je suis,
c’était la dernière bouteille d’une caisse de 6
et celle-là commençait à goûter divinement: harmonie totale.
Alors, je lance un appel:
arrêtez de vous jeter comme des sauvages sur ces splendides flacons,
laissez-leur une chance d’atteindre leur apogée. Un peu de retenue, quoi!
Oui, je sais que c’est dur…
pq
C’est vraiment trop bête. Il m’en reste une bonne dizaine de Monsieur Jean ainsi qu’une quantité équivalente de Monsieur Polpo et une autre légèrement supérieure en Fleurie de Monsieur Yvon, qui dorment à côté de leurs grandes soeurs Ultime, toutes surveillées par 6 magnums de chaque cuvèe du même millésime. Vraiment quel dommage qu’une telle distance nous sépare, je te les aurais, volontiers, faites admirer langoureusement allongées dans le noir absolu de ma petite cave.
Oh oui, Oui! insulte-moi! c’est bon!