Au cours des épisodes précédents, nous nous étions posé déjà pas mal de questions auxquelles nous avions pris soin de ne pas répondre complètement quant aux mystères que laisse entrevoir Michel TOLMER, et avions tenté de découvrir le secret de son éternelle jeunesse. J’ai eu la chance, l’été dernier, d’assister à une de ses phases de migration estivale que peu de scientifiques ont pu suivre. (Ne les avez-vous jamais entendu affirmer : “P….! TOLMER faut le suivre!”)
Je vous ferai grâce de toute la période d’approche, dont la durée extrêmement variable pourrait vous mettre les nerfs à vif. Il est important, lors des jours précédents, de déposer aux abords de son antre, nid, caverne, le lieu étant de nature indéfinissable, toutes sortes d’objets qui, par leur présence, sauront attirer son attention et surtout vous permettre de vous fondre dans le paysage. Tout ceci pour vous dire que je suis en mesure aujourd’hui de vous révéler l’origine véritable de Michel TOLMER.
Contrairement à ce que certains ont avancé, il ne vient pas d’une autre planète, comme pourraient le laisser envisager son rythme cardiaque et sa tension incroyablement basse (2 selon une étude commanditée par l’agence L.D.P. menée jeudi dernier sur plusieurs échantillons). Non ! Le Michel TOLMER est en réalité vinipare. Il semblerait que l’embryon, après incubation en foudre de 24 mois, fasse place à un être à la nature incertaine qu’il m’a été impossible de cerner avec précision, d’ailleurs le seul cliché exploitable que vous trouverez ci-joint vous confirmera l’immense incertitude qui m’habite. Il se pourrait que la présence dans son milieu naturel de nombreuses levures favorise un processus de régénérescence des cellules.
Seule photo, à ce jour, du Tolmer au cours de son cycle de renaissance, réincarnation.
philippe
https://www.glougueule.fr
Afin d'accéder à l'aristocratie épicière, Philippe QUESNOT, alias PQ, suivra des études de grouillot en architecture et béton armé durant environ une quatorzaine d'années entre Paris, Evreux et Nice. Se sentant mûr pour se lancer dans la carrière qu'il a toujours voulu embrasser, il décide de créer, en partenariat avec un de ses anciens collègues, un complexe épicier qui tiendra à la fois du bazar, du foutoir et surtout dans 70m². Ce n'est que sur le tard, après sa rencontre avec Sylvie AUGEREAU et Michel TOLMER qu'il participera à cette magnifique aventure qu'est GLOUGUEULE. Dans un premier temps pressenti pour le Nobel de la Paix, il lui sera préféré qui vous savez. Le consortium tentaculaire de l'industrie du rire ne lui a toujours pas pardonné sa liberté de ton, souvent sarcastique et surtout la subtile alchimie de son humour si fin et léger qu'il sait si facilement mettre en œuvre pour notre plus grand bonheur.
jacfé
Tant qu’il n’est pas pinipède…
Sab900
Ah ben ceci explique cela !!!! Merci Philippe
Patrice Cendre
L’élégance de cette réincarnation est remarquable !
le dgé
ToTo retour maison.
bruno laborde
24 mois d’incubation en foudre : Malheureux !!! Et ensuite vous allez vous étonner qu’il tourne en bourrique.