Après une triomphale tournée à travers quelques salles de restaurant de la capitale et caves humides ligériennes, je tiens à apporter les précisions suivantes. D’aucuns ont pu penser à mon hardeuse élocution et aux propos inachevés, que mon pauvre esprit avait emprunté des chemins de traverse dont je n’envisageais même plus l’issue.
Que nenni! Ceci n’était qu’un léger retard à l’allumage car il ne suffit point de remplir le réservoir, encore faut-il que l’étincelle se produise afin de créer l’explosion génératrice de cette énergie indispensable à la pensée féconde. Autrement dit j’avais l’esprit dans l’escalier; un décalage permanent.
Je tiens donc à préciser à nos nouveaux amis suisses, rencontrés à la Quincave avec qui nous avons échangé un coup de Sagesse 2002 du Domaine Gramenon contre du Patapon 2009 de Nathalie Gaubicher et de notre regretté ami Chaussard, que Emmanuel Heydens, (www.lepasseurdevin.ch), est en Suisse l’homme qui pourra alimenter leur innocent penchant.
A Marion et Jean, en partance pour la belle province, que le film québecois dont je leur ai parlé c’est “La Grande Séduction” de Jean François Pouliot.
A je ne sais plus trop qui : l’actrice à la voix si particulière qui avait tourné avec ce boute-en-train d’Alain Cuny n’est autre que Delphine Seyrig.
Le film de mon idole absolue “W.C. Fields” est “Never give a sucker an even break”; le partenaire de Catherine Jacob, dans un sketch hilarant en ch’ti il y a bien longtemps, est Jacques Bonnaffé. Le jazzman au rythme endiablé auteur d’un double 33T “Vivant à Montreux” avec Eddie Harris, est Les Mac Cann.
Et à Mimi, fidèle compagnon de route, ce qu’il avait pris pour un Prieuré-Roch, le dernier magnum que nous avons bu au Jeu de Quilles vers 2h du matin, était un Saint Romain du Domaine de Chassorney.
Bizarrerie de la nature : un léger problème d’audition l’empêche parfois de bien boire.
philippe
https://www.glougueule.fr
Afin d'accéder à l'aristocratie épicière, Philippe QUESNOT, alias PQ, suivra des études de grouillot en architecture et béton armé durant environ une quatorzaine d'années entre Paris, Evreux et Nice. Se sentant mûr pour se lancer dans la carrière qu'il a toujours voulu embrasser, il décide de créer, en partenariat avec un de ses anciens collègues, un complexe épicier qui tiendra à la fois du bazar, du foutoir et surtout dans 70m². Ce n'est que sur le tard, après sa rencontre avec Sylvie AUGEREAU et Michel TOLMER qu'il participera à cette magnifique aventure qu'est GLOUGUEULE. Dans un premier temps pressenti pour le Nobel de la Paix, il lui sera préféré qui vous savez. Le consortium tentaculaire de l'industrie du rire ne lui a toujours pas pardonné sa liberté de ton, souvent sarcastique et surtout la subtile alchimie de son humour si fin et léger qu'il sait si facilement mettre en œuvre pour notre plus grand bonheur.
ah! Toujours un plaisir de te lire…Merci pour cette info ainsi que celle dite en soirée “d’aller aux 3 petits bouchons” qui nous aidera bien à survivre dans ce froid pays et de s’intégrer naturellement 😉 des bises enneigées de Montréal
Bucquette
Ben que lisje ? t’étais dans la capitale et en plus dans MON arrondissement et t’es pas v’nu me claquer la bise ?? C quoi c’travail !
La bise
philippe
Cétoto kapavoulu ke j’viens t’voir.
Iveu t’gardé pourlui touseul! Lingra!
Feuilly
C’est bien connu, parfois on ne s’entend même pas boire ! Surtout à la Quincave…
Marion et Jean
ah! Toujours un plaisir de te lire…Merci pour cette info ainsi que celle dite en soirée “d’aller aux 3 petits bouchons” qui nous aidera bien à survivre dans ce froid pays et de s’intégrer naturellement 😉 des bises enneigées de Montréal
philippe
J’avais aussi la version plombier avec “de la fuite dans les bidets”, mais là, cela eut été un autre propos.