La gloire immense l’attendait, de patientes et laborieuses années de recherche suivies de nombreux essais auraient pu entamer son enthousiasme. Que nenni! Gérald OUSTRIC est de cette race d’homme qui ne renoncent jamais. Faute de crédit il dût précipiter les ultimes mises au point. La propulsion resta jusqu’à la fin le point faible de ce projet grandiose. Un pédalier de bicyclette couplé à un dynamo lui permirent, certains l’attestent, de décoller d’une dizaine de centimètres. Quelques jours plus tard Gagarine était à la une de toute la presse. Décidément ce monde est rude pour le poète.
