Ca valette le coup d’attendre
Si c’était toujours comme ça, la Bourgogne,
on surfe sur un plaisir renouvellé à chaque gorgée
jusqu’à la dernière goutte.
Qui arrive juste un petit peu trop tôt.
Si c’était toujours comme ça, la Bourgogne,
on surfe sur un plaisir renouvellé à chaque gorgée
jusqu’à la dernière goutte.
Qui arrive juste un petit peu trop tôt.
Cette entrée a été publiée le samedi 4 avril2009 à 22:02, et rangée dans Qui a bu quoi. Vous pouvez suivre les réponses à cette entrée via son flux RSS 2.0. Vous pouvez laisser un commentaire, ou faire un rétrolien depuis votre site.
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7 avril 2009 Ã 16:24
C’est à te faire Viré la tête ! Les 2005 sont d’un très grand niveau, il n’y aura pas assez de vin pour toute la planète.