Cette entrée a été publiée le lundi 28 septembre2015 à 10:20, et rangée dans Michel Tolmer. Vous pouvez suivre les réponses à cette entrée via son flux RSS 2.0. Vous pouvez laisser un commentaire, ou faire un rétrolien depuis votre site.
Merci, merci mille fois. Sans vous j’aurais eu mal à la tête. Mon caviste a failli me vendre un carton de côtes d’Aspégic !
Ah ah ah ! « Trafiquet »…c’est peu-tit, ça (pas le domaine). Quant aux bulles et au trouble, vécu avec un blanc de Gramenon l’an dernier (le trouble), j’ai pu constater qu’il reste du chemin à parcourir pour que la qualité du vin soit perçue au delà de sa présentation. Bon, le point positif, c’est que ça m’en a fait davantage à boire.
c’est excellent mais tellement réel…..
BRAVO! Encore une superbe histoire, qui parle à beaucoup de monde. On a tous vécu ça, professionnel ou amateur de vrai vin !
J’ai reconnu la bouteille de Tavel dès la première vignette!
Bravo!
Et encore, ce p’tit rosé, y sentait pas la bouse de vache!
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28 septembre 2015 Ã 11:51
Merci, merci mille fois.
Sans vous j’aurais eu mal à la tête.
Mon caviste a failli me vendre un carton de côtes d’Aspégic !
28 septembre 2015 Ã 12:30
Ah ah ah ! « Trafiquet »…c’est peu-tit, ça (pas le domaine).
Quant aux bulles et au trouble, vécu avec un blanc de Gramenon l’an dernier (le trouble), j’ai pu constater qu’il reste du chemin à parcourir pour que la qualité du vin soit perçue au delà de sa présentation. Bon, le point positif, c’est que ça m’en a fait davantage à boire.
28 septembre 2015 Ã 12:49
c’est excellent mais tellement réel…..
28 septembre 2015 Ã 18:57
BRAVO!
Encore une superbe histoire, qui parle à beaucoup de monde.
On a tous vécu ça, professionnel ou amateur de vrai vin !
30 septembre 2015 Ã 20:43
J’ai reconnu la bouteille de Tavel dès la première vignette!
Bravo!
1 octobre 2015 Ã 10:24
Et encore, ce p’tit rosé, y sentait pas la bouse de vache!