Avec l’âge cela ne s’arrange pas et demain sera pire, n’en doutons pas. Difficile après notre tournée d’inspection dans le Roussillon de reprendre un rythme s’apparentant à quelque chose qui se rapprocherait d’un battement de cils, d’un effort vague. Heureusement nous ne sommes pas encore séniles, nous avons su détourner Zoé de sa trajectoire fulgurante et la contraindre quelque peu afin de palier nos défections. Le bras tordu, elle nous a dessiné cette merveille, extrêmement drôle. Il est vrai que d’en être l’auteur m’éloigne peut-être d’une certaine objectivité. Dites-moi, je rectifierai.
Avant d’en arriver aux dernières quatre planches, un passage en bois quasi obligé.
philippe
https://www.glougueule.fr
Afin d'accéder à l'aristocratie épicière, Philippe QUESNOT, alias PQ, suivra des études de grouillot en architecture et béton armé durant environ une quatorzaine d'années entre Paris, Evreux et Nice. Se sentant mûr pour se lancer dans la carrière qu'il a toujours voulu embrasser, il décide de créer, en partenariat avec un de ses anciens collègues, un complexe épicier qui tiendra à la fois du bazar, du foutoir et surtout dans 70m². Ce n'est que sur le tard, après sa rencontre avec Sylvie AUGEREAU et Michel TOLMER qu'il participera à cette magnifique aventure qu'est GLOUGUEULE. Dans un premier temps pressenti pour le Nobel de la Paix, il lui sera préféré qui vous savez. Le consortium tentaculaire de l'industrie du rire ne lui a toujours pas pardonné sa liberté de ton, souvent sarcastique et surtout la subtile alchimie de son humour si fin et léger qu'il sait si facilement mettre en œuvre pour notre plus grand bonheur.
Cedric
As tu essayé de le prononcer la première phrase avec un mauvais accent Allemand?
C’est encore plus vrai…