Amour toujours.
Avec l’âge cela ne s’arrange pas et demain sera pire, n’en doutons pas. Difficile après notre tournée d’inspection dans le Roussillon de reprendre un rythme s’apparentant à quelque chose qui se rapprocherait d’un battement de cils, d’un effort vague. Heureusement nous ne sommes pas encore séniles, nous avons su détourner Zoé de sa trajectoire fulgurante et la contraindre quelque peu afin de palier nos défections. Le bras tordu, elle nous a dessiné cette merveille, extrêmement drôle. Il est vrai que d’en être l’auteur m’éloigne peut-être d’une certaine objectivité. Dites-moi, je rectifierai.

Avant d’en arriver aux dernières quatre planches, un passage en bois quasi obligé.
Cette entrée a été publiée le mercredi 3 août2016 à 10:24, et rangée dans La boîte à Zoé, Philippe Quesnot. Vous pouvez suivre les réponses à cette entrée via son flux RSS 2.0.
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3 août 2016 à 12:25
As tu essayé de le prononcer la première phrase avec un mauvais accent Allemand?
C’est encore plus vrai…