De la bougnette considérée comme un des beaux-arts
L’influence de notre mannequin sur la course du monde et plus particulièrement celle des arts est incommensurable. Karl L. nous l’a rappelé pour la haute couture. Nous savions pour la sculpture et la peinture, mais pour la littérature? Qui savait?
La parution prochaine aux Éditions de l’Épure de son roman autobiographique :”Les Particules Alimentaires” nous révélera les origines profondes de sa quête obsessionnelle de la tache parfaite et la raison pour laquelle il a choisi “Houellebecq” pour pseudonyme. D’après C. sa femme, qui tient à garder l’anonymat, il semblerait que cela remonte à sa petite enfance lorsque sa mère, fort sévère, lui hurlait :”Michel, où est le bec? Où est le bec?” à chaque fois qu’il s’emplâtrait la devanture.
philippe
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Afin d'accéder à l'aristocratie épicière, Philippe QUESNOT, alias PQ, suivra des études de grouillot en architecture et béton armé durant environ une quatorzaine d'années entre Paris, Evreux et Nice. Se sentant mûr pour se lancer dans la carrière qu'il a toujours voulu embrasser, il décide de créer, en partenariat avec un de ses anciens collègues, un complexe épicier qui tiendra à la fois du bazar, du foutoir et surtout dans 70m². Ce n'est que sur le tard, après sa rencontre avec Sylvie AUGEREAU et Michel TOLMER qu'il participera à cette magnifique aventure qu'est GLOUGUEULE. Dans un premier temps pressenti pour le Nobel de la Paix, il lui sera préféré qui vous savez. Le consortium tentaculaire de l'industrie du rire ne lui a toujours pas pardonné sa liberté de ton, souvent sarcastique et surtout la subtile alchimie de son humour si fin et léger qu'il sait si facilement mettre en œuvre pour notre plus grand bonheur.
ÉPURE
Un Goncourt assuré cette fois-ci, tu crois ? Il envoie du lourd alors !