De la bougnette considérée comme un des beaux-arts

L’influence de notre mannequin sur la course du monde et plus particulièrement celle des arts est incommensurable. Karl L. nous l’a rappelé pour la haute couture. Nous savions pour la sculpture et la peinture, mais pour la littérature? Qui savait?

La parution prochaine aux Éditions de l’Épure de son roman autobiographique : »Les Particules Alimentaires » nous révélera les origines profondes de sa quête obsessionnelle de la tache parfaite et la raison pour laquelle il a choisi « Houellebecq » pour pseudonyme. D’après C. sa femme, qui tient à garder l’anonymat, il semblerait que cela remonte à sa petite enfance lorsque sa mère, fort sévère, lui hurlait : »Michel, où est le bec? Où est le bec? » à chaque fois qu’il s’emplâtrait la devanture.

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Une réponse à “De la bougnette considérée comme un des beaux-arts”

  1. ÉPURE écrit :

    Un Goncourt assuré cette fois-ci, tu crois ? Il envoie du lourd alors !

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