Jacques FERRANDEZ rattrapé par l’I.S.F.

Les sommes colossales accumulées grâce à ses droits d’auteur depuis de nombreuses décennies ne lui suffisaient plus. La note chez le caviste restait en souffrance depuis de longs mois. Il était acculé. C’était connu. Le salut est venu de son fils Pierre. Ensemble ils ont commis cet album à quatre mains. Tout de sensibilité et de délicatesse, ce livre magnifique me touchera au plus profond quand le service de presse de Casterman me sera parvenu.

Laisser un commentaire