Maudit Dick ou de l’importance d’un jeu de quilles

La mésaventure survenue au courageux Jean-Pierre Dick lors du récent Vendée Globe lui a valu le respect général. Réussir à ramener son bateau et franchir la ligne d’arrivée en 4ème position malgré la perte d’une quille est un authentique exploit.

Cependant, à Glougueule, cet incident nous a interpellés. Comment peut-on être assez léger pour s’embarquer pour un tour du monde avec UNE SEULE QUILLE ?!!! À ce niveau de la compétition, une telle impréparation est stupéfiante ! Jamais évidemment nous n’oserions donner des leçons à de grands navigateurs capables de défier le Cap Horn, mais enfin, nous, pour une simple balade en mer du côté de Porquerolles ou Brégançon en compagnie de Ponpon et Mimi, JAMAIS il ne nous viendrait à l’idée d’embarquer sans un jeu de quilles complet. En mer, tout peut arriver et Monsieur P.B., notre responsable de l’avitaillement, ne plaisante pas avec la sécurité.

Pfff… Les gens sont d’une imprudence ! Et après, ils s’étonnent !

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6 réponses à “Maudit Dick ou de l’importance d’un jeu de quilles”

  1. FD SARFATI écrit :

    Sans oublier bien sûr une voile de trinquette de rechange…
    A bientôt

  2. manu Ka écrit :

    le meilleur jeu de quilles est dans le 14ème à Paris !!!!

  3. Denis Boireau écrit :

    Quand je rencontre Pierre Breton, il m’affirme toujours qu’il ne prend quasiment jamais de vacances parce qu’il a trop de travail.
    Je conclus du texte et de la photo ci-dessus qu’il considère ce genre de sortie comme du boulot.

  4. Pascal Hénot écrit :

    Dans la VOILE c’est comme dans le VIN :
    il y a les a(R)mateurs et ceux qui ont de la bouteille…

  5. Pitbret écrit :

    Évidemment les relations publiques c’est ma force!

  6. philippe écrit :

    Tu veux parler de relations pudiques, je suppose.
    Sans la langue de bois.

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