Maudit Dick ou de l’importance d’un jeu de quilles
La mésaventure survenue au courageux Jean-Pierre Dick lors du récent Vendée Globe lui a valu le respect général. Réussir à ramener son bateau et franchir la ligne d’arrivée en 4ème position malgré la perte d’une quille est un authentique exploit.
Cependant, à Glougueule, cet incident nous a interpellés. Comment peut-on être assez léger pour s’embarquer pour un tour du monde avec UNE SEULE QUILLE ?!!! À ce niveau de la compétition, une telle impréparation est stupéfiante ! Jamais évidemment nous n’oserions donner des leçons à de grands navigateurs capables de défier le Cap Horn, mais enfin, nous, pour une simple balade en mer du côté de Porquerolles ou Brégançon en compagnie de Ponpon et Mimi, JAMAIS il ne nous viendrait à l’idée d’embarquer sans un jeu de quilles complet. En mer, tout peut arriver et Monsieur P.B., notre responsable de l’avitaillement, ne plaisante pas avec la sécurité.
Pfff… Les gens sont d’une imprudence ! Et après, ils s’étonnent !
Tags : brégançon, cap horn, jean pierre dick, jeu de quilles, maudit dick, mimi, pierre breton, ponpon, porquerolles, quilles, vendée globe
12 février 2013 à 16:11
Sans oublier bien sûr une voile de trinquette de rechange…
A bientôt
12 février 2013 à 16:17
le meilleur jeu de quilles est dans le 14ème à Paris !!!!
12 février 2013 à 17:40
Quand je rencontre Pierre Breton, il m’affirme toujours qu’il ne prend quasiment jamais de vacances parce qu’il a trop de travail.
Je conclus du texte et de la photo ci-dessus qu’il considère ce genre de sortie comme du boulot.
13 février 2013 à 13:53
Dans la VOILE c’est comme dans le VIN :
il y a les a(R)mateurs et ceux qui ont de la bouteille…
5 mars 2013 Ã 19:04
Évidemment les relations publiques c’est ma force!
5 mars 2013 Ã 19:20
Tu veux parler de relations pudiques, je suppose.
Sans la langue de bois.