Suite à un incident indépendant de notre volonté, Didier BENUREAU nous sauve la mise.

En vérité, GLOUGUEULE vient de signer un des plus gros transferts de ces dix dernières années. Nous avons recruté Le Poète de la Champagne, le Barde qui chuchote à l’oreille des barriques de Pinot meunier, celui que tous ses fans historiques appellent « Pépin le Bref ». Tout s’était parfaitement déroulé, il avait passé la visite médicale, signé son contrat pro, et c’est au cours de sa présentation à la presse, revêtu de son maillot GLOUGUEULE fraîchement imprimé du numéro 10, celui des meneurs de jeu, que le drame s’est produit.

Alors qu’il tendait son bras au bout duquel se trouvait un verre, il ressentit une violente douleur au coude, réminiscence d’un ancien accident de comptoir. Evacué en urgence afin de subir les premiers examens, nous avons fait appel à Didier BENUREAU, dont nous admirons tant l’oeuvre et la parfaititude du corps qui, par amitié pour GLOUGUEULE, a bien voulu nous interpréter ce sketch en hommage à Jérôme PREVOST car, et vous l’aviez tous deviné, notre recrue n’est autre que le célèbrissime Jérôme qui nous a affirmé, dans un longue conversation téléphonique, que ses futures chroniques sur GLOUGUEULE allaient faire mal, très très mal, qu’il allait sortir des affaires dont personne n’osait parler, que dorénavant les dossiers enterrés allaient ressurgir : Les pots de vins africains, Les rétro-commissions sur les ventes de Beaujolais Nouveau au Japon, Les contrefaçons de Préfontaines, Kiravi et autre Villageoise que l’on retrouve dans les rayons des caves les plus branchées de la Capitale.

Gageons que la venue de Jérôme dans notre équipe apportera un souffle nouveau et bénéfique et au moins quelques millésimes anciens de son excellent champagne et comme disait Sylvie AUGEREAU : « Je me demande si nous l’aimerions autant s’il ne faisait pas aussi bon ? »

« Ca? »

4 réponses à “Suite à un incident indépendant de notre volonté, Didier BENUREAU nous sauve la mise.”

  1. Delphine écrit :

    Chouette ! un nouveau ! il était temps… bienvenu Jérôme !, c’est vraiment courageux de ta part de te joindre à cette équipe de grandes glougueules. Quant à Didier Bénureau, je me demande si nous l’aimerions autant s’il ne faisait pas aussi con ? Mais je suis assez d’accord avec lui, boire du champagne ou quoi que ce soit d’autre sans nous, les femmes, c’est vraiment trop triste…

  2. sylvie Augereau écrit :

    J’ai jamais dit ça! On l’aime même si on en boit pas. Menfin pas assez je veux dire.

  3. Le dgé écrit :

    Je connais bien Jérôme et ce n’est pas le genre de gars à sortir de cave sous pression…
    Il polit actuellement sa crise de la quarantaine (vous verrez pour vous aussi ce temps viendra) par des allers-retours incessants entre sa champagne pouilleuse (une partie cachée de son anatomie) et les hauts sommets alpins, tentant de sublimer l’ivresse des sim’s:
    Il me suggérait récemment son aversion à collaborer avec un petit boutiquier en liquidation judicieuse, hissé par la camorra niçoise et sa difficulté à rejoindre le Poulbot déchu de la tour Montparnasse.
    Enfin, aux regrets, il m’avouait nostalgique son amour ancien pour le talent disparu de la Georges Sandre de Loire.
    La belle équipe!
    Ah! Ce yéti champenois !
    Court sur patte mais hauteur de vue valait bien considération.

  4. Toto écrit :

    Eh ben Monsieur Le Dgé, si tu le connais bien, ce Jérôme, dis-lui qu’il arrête de faire sa capricieuse. Le mercato d’hiver sera bientôt bouclé et avec lui, ses chances de transfert dans une Dream Team. Quand il se retrouvera à essuyer le banc d’un blog de troisième division, il sera trop tard pour venir pleurer.
    Quant à la George Sandre de Loire, tout le monde sait qu’elle n’écrit pas ses textes…

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